La blonde explosive de « 9 semaines 1/2 » n’a rien perdu de son chien ni de sa séduction. A 53 ans, elle rayonne et affiche sa maturité sereine dans la dernière campagne Lancaster. Rencontre avec une femme épanouie. voir son wikipeople
Une femme sereine et épanouie
Difficile pour Kim Basinger de faire oublier au monde le striptease de « 9 semaines 1/2 » qui a rendu culte « You Can Leave Your Hat On », de Joe Cocker. Rejouant l’éternelle histoire du sex-symbol qui veut qu’on l’aime pour autre chose que ses courbes parfaites, elle a dû affronter, après la gloire, une réputation de star capricieuse, des traversées du désert et plusieurs flops sur les écrans. A part quelques paparazzades, on n’avait plus que rarement de ses nouvelles depuis son rôle de mère white-trash de Eminem dans « 8 Mile » et son fracassant divorce d’avec l’acteur Alec Baldwin, en 2002, après dix ans de mariage. Enfin débarrassée de ses démons, maman sereine et épanouie d’Ireland, sa fille de 12 ans, Kim Basinger revient, plus sublime que jamais, comme égérie de la campagne Differently de Lancaster, une ligne de soins anti-âge pour les femmes ayant franchi la cinquantaine. Il faut dire qu’elle porte merveilleusement bien ses 53 ans, avec sa silhouette de sylphide et son épaisse chevelure blonde qui tombe en boucles sur ses épaules. «Mon âge ne m’effraie pas. Bien au contraire. La réalité des jeunes actrices d’aujourd’hui me semble plus dure que celle que j’ai connue. Elles n’ont pas de religion, pas d’autodiscipline. Leur monde est devenu un vaste tapis rouge, déplore-t-elle. Aujourd’hui, le sexe est étalé partout. Mon idéal féminin est sensuel mais dénué de vulgarité. C’est pour cela que j’ai accepté d’être l’image de Lancaster, une vieille maison européenne qui incarne ces valeurs. Je dois beaucoup à l’Europe, même si c’est Hollywood qui a fait de moi une star. Les Européens m’ont toujours vue comme une actrice, appréciant mon talent au lieu de simplement me voir comme une beauté blonde. »
Няма коментари:
Публикуване на коментар